Dimanche, notre dernière vraie journée au Brésil. Notre séjour se termine et nous prenons l’avion demain après midi pour rentrer en France.

Mais pour l’instant, intéressons nous à notre journée de dimanche. Ce matin j’ai été réveillé vers 7h00 par un ami qui ne savait pas que j’étais au Brésil. Bien sur pour lui il était midi! De plus cela m’a couté 1€50 pour à peine 1 minutes de communication!

Petit déjeuner vers 8h30-9h, sans se presser, car Adriano passe nous chercher à l’hôtel vers 11h30. Ce matin, j’ai un peu la tête dans le gaz, et j’en profite pour me reposer et regarder le Grand Prix d’Angleterre. On rédigera sur le blog plus tard…

On descend vers 11h30 et nous prenons la direction de la maison d’Edgard. Il habite dans un des quartiers sécurisés tout près de celui d’Alcimar :

Il faut montrer patte blanche : Adriano doit donner son permis de conduite pour pouvoir rentrer. Nous arrivons chez Edgard, nous sommes les premiers. Il est déjà en train de faire cuire la viande :

Eduardo n’est pas là, mais il a une excuse : il a un match de volley ce matin. Angela et la famille Soares arrivent.

Alcimar est déçu car ce n’est pas lui le plus en retard. Il s’est fait battre par Eduardo qui n’arrivera qu’à 14h :Who-s-the-man:

Tout ce petit monde d’installe autour de la table pour déguster les morceaux de viande soigneusement sélectionnés et cuits par Edgard :

Les morceaux de viandes s’enchaînent, épicés ou non, accompagnés de manioc, de riz et salade de tomates. Nous terminons le repas par un “pudding glacé” et un “cafezinho adoçado” (du café sucré). Certains le trouvent trop sucré (ce sont plutôt les européens) et d’autres pensent qu’il n’y a pas de sucre du tout (plutôt les latinos américains) :Happy-Grin:

Puis pour digérer un peu, nous sortons de la maison pour se promener un peu et aussi voir les infrastructures disponibles dans le quartier. Nous nous rendons au skate-park. Au même endroit, il y a aussi un jeu d’échec géant et un city-stade :

Edgard nous dit qu’il y a aussi des cours de tennis. Eduardo remonte à sa voiture chercher les raquettes et nous voici repartis pour aller jouer au tennis!

Ce sont des cours en terre battue (la belle terre rouge du brésil, ou de l’Acaï si vous y rajouter une peu de sucre!) et une personne est chargée de ratisser le cours et de l’arroser pour qu’il soit toujours impeccable pour de nouveaux joueurs. C’est juste incroyable…. on se croirait dans un village vacances!

Pierre commence, mais tous les kilomètres à vélo ont eu raison de ses mollets (Et oui m’sieur, le sport ça se reprend progressivement :Tounge-Out: ). Au bout de quelques balles, il ne peut même plus marcher! Je reprends la suite, on ne peut pas se laisser le brésil gagner par forfait tout de même :The-Incredible-Hulk:

Je commence par jouer contre Adriano, puis Eduardo prend la suite. Cependant ce n’est pas facile d’avoir de bons appuis en Havaianas :Tired: mais la France tient le coup face au Brésil :Star-Struck:

Il est presque 18h et la nuit commence à tomber. Nous rentrons chez Edgard et découvrons Alcimar en pleine partie de bowling….. devant la télévision!

Il est temps de prendre congés de notre hôte. Un dernière photo devant la maison et nous nous dirigeons vers les voitures après quelques “abraços” très brésiliennes pour se dire au revoir.

Nous repassons chez Eduardo, pour dire au revoir à Bétania et Eduarda (Juan est chez sa mamie), car ce sera difficile de les voir demain. Pierre en profite pour se passer de la pommade sur ses mollets douloureux :Whistling:

Finalement nous rentrons à l’hôtel vers 19h30. Pierre ne pense pas ressortir, de plus nous n’avons pas faim du tout après toute la viande engloutie à midi!

Une petite douche réparatrice après le tennis me fera le plus grand bien. Ensuite je rédigerai un ou deux articles sur le blog, histoire de finaliser l’histoire de notre séjour ici.

Voila, demain matin rendez vous vers 9h pour mettre les valises dans le coffre. Ensuite direction le Biolab pour finaliser certaines choses et ensuite ce sera l’heure du départ et de l’Atarax :Afraid:

Allez, petite image pour le projet Capes-Cofecub :